( Photographie de Marie Florine )
On voudrait
parfois
trouver
un refuge
solide
quand l’eau
jaillit de la lumière
on voudrait
s’aggriper
au rocher
dans l’immobilité
on pourrait se croire
alors
protégé
à l’instant
d’ouverture
soudain
on lache
la prise
on accueille
la douceur
de pouvoir habiter
la chute