Le corps
se tient là
au bord
de la surface
dans un équilibre
presque absent
lorsque la percée
de la lumière
anime les reflets
le chant des oiseaux
se fait plus subtil
en un souffle
on plonge alors
dans la profondeur
insaisissable
de la présence
il n’y a plus de mot
pour dire
l’âme enlacée