(Photographie de Marine Giangregorio, Les mains flâneuses )
La lumière nous console
des traversées
de l’ombre
avec douceur
elle accompagne
le chemin
des larmes
on ouvre
alors
le lieu de l’inspire
certitude
d’être accompagnée
sur le chemin du jour
le pas immobile
ne cherche plus
d’horizon lointain
l’oeil se rejoint