Immobile
le souffle
rejoint
la caresse
du vent
les larmes
sentent la pluie
d’après l’aride
ce qui germe
n’est plus séparé
Immobile
le souffle
rejoint
la caresse
du vent
les larmes
sentent la pluie
d’après l’aride
ce qui germe
n’est plus séparé