Au matin
on renoue
avec les mots
enlacés dans la trame
du silence
on voudrait
repriser
l’inquiétude
en tissant les couleurs
seul
le blanc du souffle
nous tient
dans ce déséquilibre
qui vit
Au matin
on renoue
avec les mots
enlacés dans la trame
du silence
on voudrait
repriser
l’inquiétude
en tissant les couleurs
seul
le blanc du souffle
nous tient
dans ce déséquilibre
qui vit