on s’échappe
dans le vent
la peau caressée
par le passage
de l’air
immobile
le souffle
en équilibre
dans cette tendresse
éprouvée
il n’y a plus
de séparation
on appartient
au monde
on s’échappe
dans le vent
la peau caressée
par le passage
de l’air
immobile
le souffle
en équilibre
dans cette tendresse
éprouvée
il n’y a plus
de séparation
on appartient
au monde