Ce qui vacille
de désir
frémit
dans la courbure
de l’automne
on accueille
la disparition
du jour
au jardin
comme ce qui
s’éteint
d’une lumière
trop vive
Ce qui vacille
de désir
frémit
dans la courbure
de l’automne
on accueille
la disparition
du jour
au jardin
comme ce qui
s’éteint
d’une lumière
trop vive