( photographie d’Odile Fix )
on se blottirait
comme des oiseaux
en hiver
on accepterait
l’odeur étrange
des peaux
inconnues
juste assez
pour partager
le froid
( photographie d’Odile Fix )
on se blottirait
comme des oiseaux
en hiver
on accepterait
l’odeur étrange
des peaux
inconnues
juste assez
pour partager
le froid