On revient
s’incarner
à l’endroit
où la blessure
a laissé
un parfum de vide
on sait
le vertige
des mots
assemblés
comme l’infini
des possibles
On revient
s’incarner
à l’endroit
où la blessure
a laissé
un parfum de vide
on sait
le vertige
des mots
assemblés
comme l’infini
des possibles