les formes
se noient
dans la lumière
l’oeil vacille
on retrouve
de ce qui palpitait
de vie
au fond du ventre
le corps se consume
dans l’ embrasement
du silence
les formes
se noient
dans la lumière
l’oeil vacille
on retrouve
de ce qui palpitait
de vie
au fond du ventre
le corps se consume
dans l’ embrasement
du silence