Dans le creux
du chemin
le pas s’arrête
le vent
prend le relais
pour bercer
le souffle
s’élargit
jusqu’au balancement
des arbres
la peau du monde
te donne asile
Dans le creux
du chemin
le pas s’arrête
le vent
prend le relais
pour bercer
le souffle
s’élargit
jusqu’au balancement
des arbres
la peau du monde
te donne asile