passage
du corps
dans l’ouvert
un matin
l’oeil se tourne
vers l’ombre
du jour
on traverse
la lumière
on ne reconnait plus
l’autre en soi
passage
du corps
dans l’ouvert
un matin
l’oeil se tourne
vers l’ombre
du jour
on traverse
la lumière
on ne reconnait plus
l’autre en soi