que tu ne sois pas seule
à regarder la poussière
déposée
dans tes mains vides
qu’une tendresse
essuie le passage
du temps
que les larmes
s’autorisent à couler
sur les lignes
gravées
le long de ta peau
retour
à la source
vulnérable
que tu ne sois pas seule
à regarder la poussière
déposée
dans tes mains vides
qu’une tendresse
essuie le passage
du temps
que les larmes
s’autorisent à couler
sur les lignes
gravées
le long de ta peau
retour
à la source
vulnérable