De chaque grain de peau
on habite
le souffle
on chemine
sans fin ni début
au creux du cercle
intérieur
ce serait comme
retrouver
le château
baigné de lumière
sans pourquoi
De chaque grain de peau
on habite
le souffle
on chemine
sans fin ni début
au creux du cercle
intérieur
ce serait comme
retrouver
le château
baigné de lumière
sans pourquoi