Dans l’embellie
de l’étreinte
se glisse
l’arrêt
le corps suspendu
posé
dans une chaude tendresse
la peau
caressée par le vent
de la présence
celle qu’on n’osait plus attendre
Dans l’embellie
de l’étreinte
se glisse
l’arrêt
le corps suspendu
posé
dans une chaude tendresse
la peau
caressée par le vent
de la présence
celle qu’on n’osait plus attendre