ceux là qui
se savent bercés
par les premières
pensées du printemps
ceux là qui
goûtent
la tendresse
de chaque nouvelle
éclosion
ceux là
n’ont besoin
que du vent
sur la peau
pour se savoir aimés
ceux là qui
se savent bercés
par les premières
pensées du printemps
ceux là qui
goûtent
la tendresse
de chaque nouvelle
éclosion
ceux là
n’ont besoin
que du vent
sur la peau
pour se savoir aimés