
tu questionnes
sans fin le chemin
le pas s’étonne de l’air
qui l’embrasse
tu refuses l’immobile
évidence
d’être
tu deviens cette source
qui creuse
depuis le centre du mystère
il n’y a rien
à tenir
tu questionnes
sans fin le chemin
le pas s’étonne de l’air
qui l’embrasse
tu refuses l’immobile
évidence
d’être
tu deviens cette source
qui creuse
depuis le centre du mystère
il n’y a rien
à tenir